Réflexions de Padre Pio sur l'avortement "le suicide de la race humaine"

Un jour, le Père Pellegrino a demandé à Padre Pio: «Père, ce matin, vous avez nié l'absolution pour un avortement provoqué à une dame. Pourquoi était-il si strict avec ce pauvre misérable? ».

Padre Pio a répondu: «Le jour où les hommes, effrayés, comme on dit, par le boom économique, les dommages physiques ou les sacrifices économiques, perdront l'horreur de l'avortement, sera un jour terrible pour l'humanité. Parce que c'est le jour où ils devraient montrer qu'ils sont horrifiés. L'avortement n'est pas seulement un meurtre, mais aussi un suicide. Et avec ceux que nous voyons sur le point de commettre les deux crimes d'un seul coup, voulons-nous avoir le courage de montrer notre foi? Voulons-nous les récupérer, oui ou non? "

«Pourquoi se suicider? Demanda le père Pellegrino.

"Assailli par une de ces fureurs divines inhabituelles, compensé par un arrière-pays sans limites de douceur et de bonté, Padre Pio a répondu:" Vous comprendriez ce suicide du genre humain, si avec l'œil de la raison, vous voyiez "la beauté et la joie" une terre peuplée de vieillards et dépeuplée d'enfants: brûlée comme un désert. Si vous y réfléchissiez, vous comprendriez la double gravité de l'avortement: avec l'avortement, la vie des parents est toujours mutilée. Ces parents voudraient les asperger des cendres de leurs fœtus détruits, les clouer à leurs responsabilités et leur refuser la possibilité de faire appel à leur ignorance. Les restes d'un avortement provoqué ne doivent pas être enterrés avec une fausse considération et une fausse piété. Ce serait une hypocrisie abominable. Ces cendres doivent être jetées sur les visages en bronze des parents tueurs.

Ma rigueur, en ce qu'elle défend l'arrivée des enfants dans le monde, est toujours un acte de foi et d'espérance dans nos rencontres avec Dieu sur terre.