Le pape François démissionne ? Bergoglio clarifie une fois pour toutes

« Un mot peut être interprété d'une manière ou d'une autre, n'est-ce pas ? Ce sont des choses qui arrivent. Et qu'est-ce que je sais... Je ne sais pas d'où ils tiennent la semaine dernière que j'étais sur le point de démissionner ! Quel mot ont-ils pris dans mon pays ? C'est là que la nouvelle est sortie. Et ils disent que ça a fait sensation quand nCela ne m'a même pas traversé l'esprit. Face à des interprétations qui surgissent un peu déformées dans certains de mes propos, je garde le silence, car clarifier c'est pire ».

Il l'a affirmé François dans l'interview de la radio catholique espagnole Faire face.

Et suropération récente à la polyclinique Gemelli de Rome: « Tout était prévu et c'était notifié… Après l'Angélus je suis allé directement à l'hôpital, vers une heure, et ça a été communiqué à 15.30hXNUMX, alors qu'on était déjà dans les préliminaires » de l'intervention.

Le pape François s'est également laissé aller à quelques blagues lorsque le journaliste l'a cité dans le dicton sur « Les mauvaises herbes qui ne meurent jamais“…“ Exactement, exactement, - Francesco a répondu - et cela s'applique aussi à moi, cela s'applique à tout le monde ”.

"Maintenant je peux manger n'importe quoi, quelque chose que vous ne pouviez pas auparavant avec des diverticules. - dit-il - J'ai toujours les médicaments postopératoires, parce que le cerveau doit enregistrer que l'intestin est plus court de 13 pouces. Et tout est géré par mon cerveau, le cerveau gère tout notre corps et il faut du temps pour s'enregistrer. Mais la vie est normale, je mène une vie tout à fait normale ».

Pape François

Autre blague qu'il a réservée en répondant à la question sur sa santé : "Je suis toujours en vie", dit-il en riant, se rappelant que son opération était due à une détérioration des diverticules intestinaux : " dans ces parties ils se déforment, se nécrosent... mais Dieu merci la situation a été prise à temps, et vous me voyez ".

D'où la référence désormais célèbre à l'infirmière de la santé du Vatican. "Tu m'as sauvé la vie! Il m'a dit : « Il faut opérer. Il y avait d'autres avis : 'Non, celui avec des antibiotiques...' et il me l'a très bien expliqué. C'est un infirmier d'ici, de notre établissement de santé, de l'hôpital du Vatican. - Francesco expliqua - Il est ici depuis trente ans, un homme d'une grande expérience. C'est la deuxième fois de ma vie qu'une infirmière me sauve la vie ».